3.4. Un exemple de pratique de soin énergétique sur les chakras à essayer

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Plan suivi pour une présentation d’une technique de soins énergétiques simple et efficace :

1. Principes de base de ces soins énergétiques :
1.1. Pourquoi demander l’intervention d’une être divin ?
1.2. Quelle attitude à adopter pour le thérapeute ?
1.3. Comment et où diriger l’énergie qui est envoyée ?
2.1. Découverte du rôle des chakras et de leurs fonctions
2.2. Déroulement d’une séance
3. Quelques précisions complémentaires importantes :
3.1. Comment choisir tel chakra plutôt que tel autre ?
3.2. Où se situent exactement ces chakras ?
3.3. Y a-t-il un danger quelconque à positionner ses doigts sur un chakra ?
3.4. Quel chakra utiliser pour bien rester ancré sur terre ?
3.5. Je manque de pêche, d’énergie… Quel chakra utiliser ?
3.6. Quels exercices le praticien doit-il mettre en œuvre afin d’être un canal pur et efficace ?
3.7. En cas d’urgence, y a-t-il une technique spécifique à mettre en œuvre ?
3.8. Est-il possible de purifier le sang pour le débarrasser d’éléments physiques dangereux ?
3.9. Comment vérifier l’efficacité du soin ?
3.10. Un soin à distance est-il possible ? Comment faire ?
3.11. Ces soins énergétiques ont-ils des contre-indications ?
3.12. Qu’est-ce qui permet d’augmenter l’efficacité d’un soin ?    

1. Principes de base de ces soins énergétiques

Cette pratique de soins énergétiques repose sur le principe de la canalisation. Le praticien n’est ni plus ni moins qu’un canal qui reçoit d’un Être de Lumière (guide spirituel, ange, Archange, Maître Ascensionné…) l’énergie vitale, l’énergie d’Amour, celle qui va enclencher la guérison (ou plutôt l’auto-guérison).     

1.1. Pourquoi demander l’intervention d’un Être Divin ?

Pour être constamment et totalement protégé lors du soin contre toute éventuelle intrusion malsaine ou non désirée d’une « entité ». Il ne s’agit surtout pas non plus ici de distribuer l’énergie vitale du praticien mais au contraire celle d’une puissance bénéfique (un avatar, un Maître, un ange, Archange …) à travers ses corps subtils.

Ainsi, avantage non négligeable, ce dernier garde un peu de cette énergie vitale qui le traverse. Donc loin de le « fatiguer » (comme on le croit souvent), un soin recharge, rééquilibre les corps subtils de celui qui fait passer ces énergies divines. (Revenir au plan de cette page)   

1.2. Quelle attitude à adopter pour le thérapeute :

Tout d’abord, le thérapeute ne guérit RIEN ni PERSONNE : c’est cette énergie d’Amour envoyée par un Être de Lumière quel qu’il soit (choisir celui ou celle dont vous vous sentez le plus proche) qui va enclencher chez le patient les réactions énergétiques puis biologiques, chimiques ou autres nécessaires à la guérison de son patient,

La puissance de l’énergie envoyée si elle est, à l’origine, colossale dépendra surtout de louverture spirituelle du thérapeute. Plus le canal est « éveillé » (travail sur soi, assimilation des leçons de vie…) et plus l’énergie véhiculée dans les corps subtils du patient sera puissante.

Le thérapeute n’a pas de dons spécifiques comme on pourrait le croire… Il ne s’agit nullement ici de « degrés » à acquérir. Il n’y a aucun « secret » ici qu’on ne vous dévoilerait que si vous atteignez un certain « niveau« … Elle est au contraire ouverte à tous et c’est votre volonté de servir, votre envie d’être canal de ces énergies pures qui vous permettront d’aller de plus en plus loin dans les soins pratiqués.

Il vous est juste demandé en tant que thérapeute :

  • de participer à un bel élan d’Amour, un échange à considérer dans un esprit de partage, ni plus ni moins,
  • de travailler suffisamment votre concentration afin de diligenter votre mental (ensemble des pensées) pour pouvoir se concentrer suffisamment longtemps et puissamment sans faiblir. Tout dépendra de votre propension à rester très concentré, aligné, discipliné dans ce travail. Car les pensées parasites susceptibles de troubler la transmission diminuera ou arrêtera même le transfert énergétique. Pour cela, rien de tel que la pratique quotidienne de la méditation pour bien apprendre à rester centré.
  • d’avoir foi  en cette puissance divine indépendamment de vos appartenances religieuses : donc chacun est libre d’invoquer la puissance divine à laquelle il se réfère au niveau de la hiérarchie blanche :  Maître, avatar, ange, Archange, guide spirituel…
  • il n’a pas le désir de « guérir » ou d’enlever tel mal ou telle douleur mais doit rester détaché de ce rôle car ce n’est qu’un « rôle » même s’il est, bien entendu, primordial. Le thérapeute doit être empreint de sérénité, d’humilité face à la véritable guérison qui se joue, pour le patient, toujours en coulisse et qui est toujours une guérison du cœur, du patient envers lui-même.
  • il doit rester persuadé de l’efficacité de son travail à partir du moment où il a été réalisé en étant bien centré : être dans le doute ou la peur de ne pas bien faire est normal au début. C’est ici que le détachement envers les résultats attendus se révèle : il faut laisser le travail faire son œuvre car une fois l’impulsion donnée, le patient devra enclencher lui-même le processus de guérison, cette compréhension interne qui lui instillera les changements appropriés. Ainsi, son corps arrêtera de lui-même l’expérience en cours, la leçon ayant été assimilée. On touche ici les principes même de la médecine quantique.
  • il est conscient de la nécessité d’accompagner au préalable le soin proprement dit d’un dialogue avec le patient afin de lui expliquer son rôle très actif (principe d’auto-guérison), sa responsabilité qui reste toujours très dépendante d’une compréhension à intégrer. Il n’y a aucune magie ici (voir les 3 cas d’apparition des maladies) : seul l’amour guérit, comme l’explique ce médecin canadien dans cette vidéo intitulée « LA MÉDECINE SOIGNE, L’AMOUR GUÉRIT« , partie 1, partie 2 et partie 3.  

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1.3. Comment et où diriger l’énergie qui est envoyée ?

L’énergie guérisseuse va où elle veut même si on peut, dans une certaine manière, influer sur son parcours initial suivant l’endroit où les doigts des mains sont positionnés. On les positionne soit sur un chakra (voir plus bas quelques explications sur ce terme) soit en « local » c’est à dire sur l’endroit où une douleur apparaît.

Cependant, il est primordial de comprendre que la guérison espérée et attendue par le patient n’est pas, dans la plupart des cas, la disparition d’une douleur, d’une infection, infirmité ou autre. Il s’agit et d’une manière générale d’un saut de conscience, d’une compréhension spirituelle que le patient doit assimiler et qui est, en fait, à l’origine de l’apparition de cette maladie .

Cette conception présuppose de comprendre le sens de la maladie, son langage, réfutant toute idée de hasard. Ainsi, la guérison véritable (durable) n’intervient qu’une fois que cette « leçon » a été bien comprise, totalement assimilée.

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2. La technique proprement dite    

2.1. Découverte du rôle Des chakras et leur fonction :

34-Soins-énergétiques-Corps-avec-chakras

Détail de l’implantation sur le corps humain de chaque chakra principal (au nombre de 7) :

Chakra = centre énergétique situé à des endroits très précis (toujours précisément au milieu du corps) où se croisent des canaux énergétiques appelées nadis. Même s’ils sont tous associés et situés près des glandes endocriniennes  de notre corps physique, ils n’existent qu’au niveau énergétique (en non sur notre densité physique) donc au même titre et niveau que nos 6 corps subtils. Ils régulent le transfert d’énergie subtile (appelé prâna) entre ces différents corps.

Une parfaite santé implique donc un parfait équilibre énergétique entre eux. Pour cela il faut d’abord qu’ils soient tous ouverts sans être trop en « sur » ou « sous » régime. Ainsi, dès que l’un deux dysfonctionne, les autres, pour rétablir l’équilibre, compensent (par exemple en absorbant plus d’énergie ou moins…). Ils s’influencent donc les uns, les autres dans le but de tendre à une harmonie. C’est donc une vision globale de l’individu qu’il faut analyser.

34-Soins-énergétiques-Tableau-chakrasLe tableau ci-contre récapitule (cliquez dessus pour l’agrandir) ces 7 principaux chakras avec diverses correspondances : couleur, glande endocrines, type d’émotion gérée, conséquences s’ils sont sous-activés ou sur-activés…

Ainsi, ces transferts énergétiques vont avoir une incidence directe non négligeable sur notre comportement en fonction de leur ouverture et de leur rôle intrinsèque.

Par exemple, si je sens un souci dans ma relation amoureuse, le chakra 2, au bout d’un certain temps, risque d’être sous-alimenté par manque de lien concret, physique avec cet être cher (tendresse, échanges, relations sexuelles…), de part aussi les inquiétudes que je vais générer. Je sentirai donc une frustration, une insatisfaction qui va me pousser naturellement à comprendre pourquoi, comment j’en suis arrivé là. Je vais donc être poussé par une suractivité du chakra 5 (centre de la communication, de l’expression) à essayer d’exprimer ces manques, à dialoguer avant que tout ne dégénère en un mal-être bien plus profond (caractérisé par la fermeture d’un ou plusieurs chakras).

Ainsi, le rôle de ces centres énergétiques est primordial dans notre vie de tous les jours, dans nos attitudes et humeurs : sur-activer un chakra trop brutalement ou trop longtemps peut provoquer des colères subites, des dépressions, des burn out…

Le soin énergétique qui a pour rôle de mieux les équilibrer devra être accompagné de beaucoup de pédagogie afin de faire comprendre au patient son rôle crucial de « chef d’orchestre ».  En effet, ce soin sera pure perte (ou ne sera pas efficace longtemps) si un changement profond dans la façon d’être, dans les croyances (voir leurs rôle ICI) aussi n’est pas engagé.   (Revenir au plan de cette page)    

2.2. Déroulement d’une séance :

Concrètement, voici comment se déroule (4 phases), en direct (patient allongé ou assis à côté de thérapeute), le premier soin énergétique (identique pour les soins suivants sauf pour la phase 1 qui est plus courte) :

PHASE 1 / 4 :

Discussion avec le patient afin d’analyser sa conception de la maladie : sa part de responsabilité dans les événements qui le touchent, ses croyances, sa foi, les raisons qui, pour lui, ont conduit à la création de ces dysfonctionnements (s’il y croit), ce qu’il attend du thérapeute (miracles, compréhensions, aide ?), son degré de volonté face aux exigences d’une guérison (son degré de remise en question de ses choix)… Ce questionnement sera d’autant plus long et poussé que les origines de la maladie seront psychiques.

PHASE 2/ 4 :

Le praticien doit mesurer le taux énergétique du patient avant son arrivée (le pendule peut reculer dans le temps mais jamais prédire !) et à la fin de cette discussion. Plus il aura « assimilé« , compris ce qui aura été dit et accepté les remises en question, plus son taux vibratoire s’élèvera et le pendule ne se trompe pas…

À savoir : il n’existe pas de taux vibratoire à partir duquel on peut dire avec certitude qu’une personne est ou n’est plus malade. D’une part nous sommes tous uniques mais surtout la capacité du praticien à recevoir les énergies va modifier complètement le résultat obtenu. Certains atteignent à peine quelques centaines de milliers de bovis (unité de mesure utilisée) tandis que d’autres flirtent allègrement avec des centaines de milliards

Ce taux peut donc varier énormément (chaque patient n’ayant pas le même potentiel spirituel) sauf en ce qui concerne des taux très bas constatés auprès de patients atteints de maladies graves (en général autour de 4000 bovis) comme le cancer.

PHASE 3/ 4 :

Soin proprement dit par imposition des mains (pas la main entière, uniquement le bout de 2 doigts, c’est bien plus efficace) sur le patient assis ou allongé (sur le ventre ou sur le dos) mais totalement détendu (yeux fermés) sur les chakras afin de les rééquilibrer.

Tandis qu’une main reste toujours positionnée sur le chakra 7, passer successivement avec l’autre main du 1er chakra au 6° (toucher physiquement le patient sauf pour les chakras 1 & 2 où la main restera juste au dessus).

En même temps, le thérapeute, pendant toute la durée du soin, devra réaliser un travail très important de visualisation (cf. ci-dessous) tout en récitant une prière pendant 5 (pour les praticiens débutants) à 20 minutes ou plus (pour ceux pratiquent souvent) en fonction de son ressenti et de la puissance de sa concentration.

Cette prière appellera l’Être de Lumière invoqué pour qu’il transmette ses énergies divines. Elle nous a été transmise en canalisation par un Maître Ascensionné (déjà utilisée dans ce site ICI pour la purification d’eau) :

Que cette personne soit béni-e,  ré-énergétisé-e, guéri-e
(Citer son nom, prénom et rajouter autant de qualificatifs que vous le désirez !)
Par notre Seigneur…

(Citer le nom  de l’ange, Archange, Maître ou … Dieu qui doit être visualisé juste au-dessus du patient)
Qu’Il en soit ainsi
Et Il l’est !

(Penser avec ferveur, enthousiasme, fermeté et conviction, tout en visualisant là aussi une pluie de lumière ou d’or qui tombe et englobe le patient)

Pendant toute cette phase, la visualisation a une importance capitale. Elle permet au praticien d’accompagner les énergies transmises (à travers lui) et d’en augmenter la force, la concentration, la puissance.

Autres visualisations conseillées et possibles (en sus et en alternance avec celle décrite ci-dessus qui doit être réalisée en même temps que la prière est récitée) en fonction de la capacité de se concentrer du thérapeute (toujours les yeux fermés, pour faciliter la concentration) :

  • Faire apparaître l’énergie vitale (par exemples poudre d’or ou de lumière, scintillante, très pure) de l’Être de Lumière invoqué qui pénètre le chakra coronal (n°7 au sommet de la tête) et qui traverse petit à petit le corps du patient en éclairant ET transmutant tout sur son passage. Suivre mentalement le trajet de cette Lumière qui inonde le corps du malade et qui fait ressortir par les pieds tout ce qui est usé, affaibli, mort (on peut imaginer par exemple un nuage gris…).
  • Visualiser aussi (en alternance avec ce qui précède) les chakras se remettre en mouvement afin de stimuler la circulation de l’énergie d’Amour à travers les différents corps subtils : on peut les imaginer qu’ils aspirent et rejettent comme une sorte de « pompe » (qu’importe, le principal étant le ressenti).
PHASE 4/4 :

Reprendre le pendule pour une mesure du taux énergétique du patient après le soin afin d’évaluer l’intensité et l’efficacité du travail. Il est courant de voir un taux énergétique être multiplié par 100, 1000 ou beaucoup plus ! Dialoguer avec son patient à qui il est possible de demander, pendant tout le soin les yeux fermés, de visualiser (lui aussi !) cette énergie pure de Lumière dense pénétrer son chakra coronal (là où le praticien a ses mains) et se diffuser dans tout son corps.

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3. Quelques précisions complémentaires importantes

3.1. Comment choisir tel chakra plutôt que tel autre ?

En premier lieu, il faut toujours mettre les 2 doigts d’une main sur le 7 (chakra coronal) car il dirige tous les autres. L’énergie envoyée sera ainsi déployée automatiquement vers les autres chakras s’ils sont en demande…

Il est aussi intéressant de procéder de la sorte quand on ne sait pas quel chakra utiliser… Mais chacun d’entre eux, parce qu’il est relié à une glande endocrine du corps, possède des propriétés propres à la régulation de certains organes (au niveau physique) et de leur pendant, leur corollaire au niveau psychique.

Ainsi, un chagrin d’amour ou un problème de couple aura des incidences sur le chakra 4 (celui du cœur) de la même manière qu’un souci de circulation sanguine. Le chakra 5 va, autre exemple, être lié à la respiration (problèmes de poumons, de peau…) comme il est aussi concerné par tous les soucis de manque ou d’excès de communication envers autrui. Comment suis-je perçu par les autres ? Dois-je me libérer, m’exprimer, me montrer tel (le) que je suis, dire tout ce que j’ai à dire… ? Ainsi de suite pour tous les chakras suivant le tableau ci-dessus.

Voici dans un premier temps le détail de l’utilisation des chakras quand on s’intéresse aux fonctions du corps humain :

  • chakra 7 (C7) : soucis liés au cerveau, au cou, au squelette, aux muscles et aux articulations.
  • chakra 6 (C6) : à associer à tous les autres chakras, dans tous les cas. Possibilité aussi car on n’a que 2 mains (!) de faire tourner celui du patient par la pensée (sans le toucher) en activant notre C6 (celui du thérapeute).
  • chakra 5 (C5) : appareil respiratoire, nez, gorge, poumons, peau.
  • chakra 4 (C4) : appareil cardio-vasculaire, coeur, vaisseaux sanguins et lymphatiques, sang.
  • chakra 3 (C3) : appareil digestif, tout le système qui permet l’élimination.
  • chakra 2 (C2) : appareil génital.

Voici dans un second temps le détail de l’utilisation des chakras quand on s’intéresse à l’aspect psychosomatique, spirituel et émotionnel directement lié à chaque fonction du corps humain :

  • chakra 7 (C7) : désir de se parfaire (= spiritualité).
  • chakra 6 (C6) : intuition, perception extra-sensorielle, médiumnité.
  • chakra 5 (C5) : communication, expression, créativité, inspiration divine.
  • chakra 4 (C4) : ouverture du coeur pour aimer, aller vers l’autre, l’aider, joie de vivre, confiance en Soi.
  • chakra 3 (C3) : harmonie, paix, volonté.
  • chakra 2 (C2) : vitalité, sexualité (tantrisme), spontanéité, confiance aux autres.
  • chakra 1 (C2) : confiance en Soi, prospérité, bien-être, projets, Maîtrise de Soi, confiance en la Vie.

Voici quelques exemples de transferts énergétiques (activer toujours votre chakra 6 au préalable avant de positionner vos mains sur les chakras désignés ci-dessous ) :

  • BÉBÉ QUI PLEURE : envoyer l’énergie sur son C6
  • CONCENTRATION POUR UN ÉTUDIANT : envoyer C6 + C7
  • HÉMORRAGIE : main en local (là où il y a hémorragie) + C7
  • PSORIASIS : C7 + C6 puis C5 puis épuration du sang (voir § 3.8.)
  • ARRÊTER DE FUMER : le thérapeute devra prendre une cigarette du fumeur (et pas une autre) et l’allumer. La porter à la bouche et aspirer une bouffée. Expirer la fumée 3 fois de suite sur l’extrémité incandescente de la cigarette qu’on retourne. Concentrez-vous et penser fortement : « cette cigarette est très mauvaise pour toi, c’est néfaste à ta santé, il faut t’arrêter ». La redonner au patient qui doit la fumer jusqu’au bout même si cela devient difficile pour lui (l’envie de vomir est un excellent symptôme !). Pendant une semaine au moins, lui faire les C6 + C5 puis grosse épuration du sang à chaque fois. Magnétiser le paquet de cigarettes (avec votre C6) et lui rendre
  • URGENCE : C7 (+ C6 si possible) pendant quelques minutes le plus rapidement possible.

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3.2. Où se situent exactement ces chakras ?

1 : au-dessus de la zone située entre le périnée et l’anus,
2 : au-dessus des parties sexuelles (gonades),
3 : deux doigts en dessous du nombril,
4 : entre les 2 seins,
5 : dans le creux de la gorge,
6 : entre les sourcils (appelé 3° œil) OU sur la « bosse de bison » dans le cou,
7 : au point le plus haut du crâne (fontanelle « bregmatique »).

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3.3. Y a-t-il un danger quelconque à positionner ses doigts sur un chakra ?

Non pour le (chakra coronal), bien au contraire.

OUI pour les autres qui ne doivent pas être trop sur-activés notamment le n° 6, aussi nommé « troisième œil » (ou « ajna » en sanskrit) qui est très particulier. C’est un chakra supérieur qui commande la concentration, la compréhension (technique, spirituelle…) chez l’individu. Il serait tentant de le « travailler » afin d’augmenter les capacités de mémorisation, l’intuition, la perception extra-sensorielle… mais les choses doivent se faire à leur rythme… Á utiliser donc avec doigté, précaution et parcimonie

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3.4. Quel chakra utiliser pour bien rester ancré sur terre ?

Le chakra 1 (tout en bas entre l’anus et le périnée) correspond à la jonction avec la Terre, Gaïa notre Mère. Á utiliser pour recentrer, repositionner un patient qui a besoin de s’ancrer dans la vie professionnellement, ou personnellement pour éviter des déprimes, d’être trop souvent dans la « lune », l’impossibilité de faire face aux diverses obligations « terrestres » quotidiennes, la tendance à procrastiner…

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3.5. Je manque de pêche, d’énergie… Quel chakra utiliser ?

Le chakra 3 (plexus solaire, pancréas) régit l’appareil digestif (œsophage, estomac, foie, pancréas, intestins…) et l’appareil urinaire. Il sera, en plus des maux liés à ces organes, aussi réactivé pour tous les patients qui manquent d’énergie (fatigue, dépression, cancer suite aux traitements allopathiques…) car c’est à ce niveau là que le corps récupère les calories au niveau physique (processus de digestion) donc récupère et stocke l’énergie liée aux corps subtils.

Cependant, ce chakra étant logiquement relié au corps mental par un processus de transformation des sentiments et des émotions en inspirations, idées et affirmations, il est logique de conseiller au patient de surveiller ses pensées et émotions quotidiennes sources de « pertes » importantes d’énergie comme toutes les attitudes déviantes : jugements, comparaisons, manque de bienveillance, d’une vison positive des choses…).

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3.6. Quels exercices le praticien doit-il mettre en œuvre afin d’être un canal pur et efficace ?

Il est vivement conseillé de pratiquer régulièrement la méditation pour améliorer son efficacité dans le cadre de ses soins. Le but poursuivi est de clarifier nos pensées pour réussir facilement à visualiser l’énergie qui circule entre la Hiérarchie Blanche (tous les Êtres de Lumière) et le patient. Cette visualisation doit se faire en continu : elle nécessite un apprentissage (surtout au début) et des exercices réguliers pour « diligenter » notre mental et son flot incessant de pensées souvent désordonnées.

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3.7. En cas d’urgence, y a-t-il une technique spécifique à mettre en œuvre ?

En cas d’urgence (malaise, perte de connaissance, accident…), le thérapeute doit très rapidement positionner le bout de ses doigts sur le chakra coronal (n°7) afin de ré-oxygéner le cerveau, d’éviter qu’il ne soit coupé de toute irrigation sanguine (quelques minutes suffisent pour provoquer par la suite de graves handicaps). Simultanément, un thérapeute expérimenté peut se concentrer sur les autres chakras afin de les faire tourner au maximum et d’irriguer ainsi tout les corps subtils.

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3.8. Est-il possible de purifier le sang pour le débarrasser d’éléments physiques dangereux ?

Oui, une purification du sang (patients qui ont ingurgité des médicaments comme les neuroleptiques, des drogues via le tabac ou l’alcool par exemple, une alimentation trop industrielle…) est possible en se positionnant avant tout 2 doigts d’une main sur le chakra 7 et l’autre main sur le pouls du patient (au poignet, c’est plus facile) toujours en imaginant, visualisant l’énergie divine qui passe à travers tout le système sanguin (artères, vaisseaux et capillaires) et qui le purifie instantanément. Voir le sang changer de couleur au fur et à mesure de la purification.  Cette épuration du sang est à utiliser à la fin de beaucoup de soins afin d’éliminer tous les éléments présents après le soin sur les chakras.

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3.9. Comment vérifier l’efficacité du soin ?

Seul l’élévation du taux vibratoire du patient, mesuré au pendule peut effectivement attester que les chakras ont été, dans une certaine mesure, ouverts ou réactivités afin de renforcer ou de purifier les corps subtils correspondants. La pratique assidue du pendule est primordiale pour vérifier le taux énergétique du patient avant puis après le soin.

Il est impossible de donner ici le « niveau » que doit posséder un patient en pleine santé sur l’échelle qui utilise les unités « bovis » car chaque thérapeute, en fonction de son vécu, de ses croyances et de son niveau de compréhension spirituel aura des résultats qui peuvent être très différents (de 1 pour 1000 !). Donc chaque mesure est à réaliser et à comparer avec la précédente obtenue par le même opérateur.

Ceci étant, une fois le taux vibratoire élevé, le patient doit maintenir, prolonger son auto-guérison par une recherche personnelle des causes de sa maladie, une volonté de changer ce qui doit l’être afin de maintenir un état d’équilibre aussi permanent que possible.

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3.10. Un soin à distance est-il possible ? Comment faire ?

Pour un traitement à distance, il est conseillé d’utiliser une photo récente avec le nom, prénom et date de naissance du patient à partir de laquelle le praticien réalisera le même travail énergétique décrit précédemment, ses deux mains étant positionnées sur la photo.

Il est souhaitable de convenir d’un rendez-vous horaire pour que le malade (une fois allongé) soit prêt à recevoir le soin : qu’il soit calme, reposé, détendu et qu’il ne dorme pas.

Il est aussi conseillé d’avoir déjà pratiqué un soin en direct, physiquement (cela facilite la visualisation) avant de s’adonner à des soins à distance.

La visualisation est ici d’autant plus primordiale que le patient n’est pas physiquement présent.Elle est identique à un soin en direct mais peut être complétée par une autre technique décrite avec détails dans le merveilleux livre de Drunvalo MELCHIZEDEK intitulé « Vivre dans le coeur – Comment entrer dans l’espace sacré du coeur« . Ce travail n’est certes pas aisé mais il est potentiellement infini… Dans ce cas, toutes les visualisations partent d’un « endroit » appelé « espace sacré du coeur » proche du coeur physique du thérapeute qui invite son patient (ses corps subtils) à venir prendre le soin. La connexion est plus efficace et directe.

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3.11. Ces soins énergétiques ont-ils des contre-indications ?

Oui, une seule : il est fortement déconseillé de pratiquer ces soins énergétiques si la patient est « imbibé » d’alcool. Les effets secondaires peuvent être handicapants et diffèrent selon les cas : perte de la voix, tremblements, inefficacité du soin, perte de repères…

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3.12. Qu’est-ce qui permet d’augmenter l’efficacité d’un soin ?

Plusieurs éléments, disparates, le permettent (à la fois du côté du thérapeute et de celui du malade) :

    • une bonne concentration du praticien pendant le soin et une excellente ouverture de ses chakras,
    • la compréhension par le malade des causes de sa maladie,
    • la croyance en un lien entre ces causes et l’apparition de la maladie donc dans son auto-guérison pour inverser le processus,
    • une prise en charge rapide du malade (au plus tôt de l’apparition des premiers symptômes),
    • la foi du malade en son praticien (de la même manière qu’il croit à son auto-guérison !),
    • la certitude que le soin ne fait qu’enclencher le processus d’auto-guérison qui doit être accompagné par le malade même si les symptômes ont disparu : décider d’enclencher une série de changements dans son attitude, la ferme volonté de continuer dans ce sens, la prise de bonnes résolutions… Car souvent une guérison pleine et entière est synonyme de travail sur son caractère, sur sa personnalité.
BON COURAGE, AVEC TOUT NOTRE AMOUR…

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