2.4. Taux vibratoire et corps subtils

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Après avoir détaillé les corps subtils d’une manière générale puis à travers une description beaucoup plus précise,  il nous paraît opportun maintenant d’aborder un élément essentiel qui les caractérise : leur taux vibratoire. Qu’est-ce que c’est ? son utilité et lien avec notre santé ? Ainsi nous verrons successivement :

1. Qu’est-ce qu’on entend par taux vibratoire ?
2. Et à quel niveau doit rester ce taux vibratoire ?

1. Tout d’abord, qu’entend-on par taux vibratoire  ?

Il s’agit de la fréquence à laquelle vibre chacun de ces corps qu’il soit subtil ou non car tout ce qui est vivant (lieu, minéraux, plantes, animaux, nous) ou ce qui est « imprégné » par l’homme dans ses activités qu’il a utilisé, aimé, chouchouté (voiture, maison, vaisselle, vêtement, meubles…) VIBRE !

Mais ce qui nous intéresse ici concerne la fréquence à laquelle vibre nos différents corps. On l’a vu, ils ont tous des rôles précis et spécifiques. Ainsi :

  • les corps les plus denses, corps physique, corps éthérique, astral et mental, auront une fréquence qui, dans une certaine mesure, va varier d’un moment à un autre, d’une situation à une autre suivant notre activité, attitude, nos émotions, nos sentiments présents…
  • les corps subtils les plus élevés (corps causal, atmique et divin) eux sont connectés à un temps, un espace et à des Êtres qui nous dépassent complètement. Leur taux est, de ce fait, excessivement élevé.

Or, notre santé dépend grandement de la façon dont les premiers  (les plus denses) garderont un taux énergétique élevé, en se connectant aussi souvent et longtemps que possible, dans leurs tâches quotidiennes à ceux qui, de part leurs connexions permanentes baignent dans une dimension bien plus élevée et peuvent, de ce fait, grandement les aider.

On peut mesurer ainsi le taux énergétique global de notre corps physique dont le niveau sera la résultante de toutes ces interactions. Plus il est élevé et plus notre santé sera préservée car nos connexions avec nos corps subtils seront meilleures. C’est ainsi que passer du temps, jour après jour à la pratique de la méditation (par exemple) permet de relever ce taux vibratoire en permettant ces connexions, en favorisant la circulation de l’énergie vitale entre tous nos corps. Cette circulation entraîne un « rééquilibrage » des énergies, d’un corps à un autre qui se fera librement et normalement via des sortes de portes, ou « sas », alvéoles qu’on appelle « chakras » (mot sanskrit qui signifie « roues« ). Conséquence : le taux vibratoire de l’individu augmente à son rythme en éliminant les blocages, les tensions accumulées.

Comment fait-on pour « mesurer » ce taux vibratoire ? Il est obtenu grâce à un pendule et avec une échelle de Bovis ou l’antenne de LECHER. L’unité est le « bovis ».

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2. Á quel niveau doit rester ce taux vibratoire ?

Chaque individu a un niveau d’évolution qui lui est propre. C’est la même chose pour le taux vibratoire. Même s’il va rester dans une fourchette (exprimée en unités bovis) spécifique à chacun d’entre nous, il est impératif de maintenir le plus haut niveau que l’on puisse garder pour n’être influencé dans nos attitudes et actions que par nos corps les plus divins. C’est notre pleine et entière responsabilité : plus on émet des pensées ou émotions négatives et plus on est perturbé par celles émises par autrui et plus notre taux vibratoire baisse et ainsi de suite…

Á ce moment là, nos corps subtils, et plus précisément notre corps émotionnel va stocker toutes les informations émises (quelles qu’elles soient), et créer, petit à petit, une regrettable pollution psychique, les pensées et émotions étant trop souvent dirigées dans un sens négatif. Ainsi, les chakras se fermeront empêchant partiellement ou (presque) totalement la circulation énergétique naturelle entre nos différents corps. Conséquences :

  • le taux vibratoire de notre corps physique, entraîné par ce manque de circulation va baisser car, tout logiquement, plus les pensées et émotions émises par un individu sont proches de l’état divin, plus ses vibrations, par voie de conséquence s’élèvent. Or, dans ce cas, ici, c’est exactement l’inverse qui se produit,
  • les sas par lesquels l’énergie circule entre les différents corps, nommés habituellement « chakras«  petit à petit se ferment et peuvent même carrément se bloquer,
  • la circulation de l’énergie vitale (captée dans notre environnement et plus exactement dans l’éther) des corps subtils dont les vibrations sont les plus élevées (corps atmique ou divin) vers le corps subtil le plus dense (corps éthérique) diminue grandement. Il n’y a pas tarissement de la source, loin de là  : son énergie reste et demeure toujours disponible à l’infini mais il y a, par la volonté du libre arbitre de l’individu, baisse global de son taux vibratoire et blocages dans ses chakras,
  • le corps physique qui se régénère la nuit grâce aux corps éthérique le sera beaucoup moins d’où des difficultés à dormir et, au réveil, une méforme certaine : fatigue chronique, sensation d’être mal dans son corps, d’avoir la tête à l’envers…
  • l’individu, pendant la journée, sera psychologiquement beaucoup plus tendu car moins protégé par son corps éthérique (attitude irascible, tensions palpables, susceptibilités …) d’où l’apparition de maladies dues à ces déséquilibres psychiques : dépression (difficultés d’adaptation aux exigences de la vie, sentiment d’être persécuté, victimisation, repli sur soi …), colères, apathie, suicide, alcoolisme…

Ainsi, ne nous y trompons pas, un individu qui subit un traumatisme psychique consécutivement à une blessure, un choc émotionnel, une attitude déviante, un non-dit, une incompréhension, de la violence… contractera logiquement une maladie (« mal a dit » : son corps l’alertant) : dépression, cancer, migraines, arthrite…

Son corps désirera simplement l’avertir et, inconsciemment bien entendu, désirera provoquer, à travers l’apparition d’une maladie, une véritable guérison, plus spirituelle bien évidemment avec ses corollaires : meilleure compréhension de soi, de son entourage, mise en place de pardons, d’acceptations, affinement du caractère, déploiement de personnalités avec mise en œuvre de projets, etc. Voilà pourquoi beaucoup de malades, une fois guéris, parlent de « chemin de guérison » en ne regrettant nullement, une fois la compréhension acquise, ce qu’ils avaient perçu à l’origine comme un véritable malheur. Voir à ce propos la page liée au langage de la maladie.

Rehausser le taux vibratoire a pour but de « réaliser » que la maladie n’est qu’un chemin de guérison avec une bonne connexion aux corps subtils dont les vibrations sont les plus élevées. Cela aura aussi pour effet de protéger notre corps physique car, avec un taux vibratoire élevé, les défenses immunitaires et la capacité de régénération des cellules seront décuplées avec une meilleure capacité à éliminer les toxines, une recrudescence de l’activité des neurones…

Mis à part les cas assez rares de maladies karmiques, le patient qui suit ce « processus vibratoire » connaîtra une guérison stable et définitive lorsqu’il sentira en lui une compréhension, un changement d’état de conscience, un « saut quantique«  qui seront d’autant plus forts et élevés que son taux vibratoire le sera.

D’où l’intérêt, pour chacun d’entre nous, de maintenir et de veiller, à chaque instant, à ce que notre taux vibratoire soit en permanence à un niveau le plus élevé possible ! Oui mais … comment faire ? C’est  ICI !

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