1.2. Le langage de la maladie

12-Langage-maladie

La maladie a-t-elle un sens, un codage, un langage, une sagesse qui lui sont propres ? Nous pensons que ces questions, cruciales, sont au cœur du fonctionnement de l’auto-guérison. Ainsi, nous verrons consécutivement ici (plan de cette page) :

  1. Quelques recherches de scientifiques qui analysent la maladie afin d’en décrypter le sens, le langage,
  2. Ce qu’il faut penser d’après nous de l’effet de ces bactéries, virus ou autres champignons virulents sur notre santé,
  3. Et pourquoi, toujours à notre avis, le langage du corps est avant tout un langage spirituel qui possède une sagesse dont l’unique but est notre élévation ici-bas.

Cette vision, à l’inverse du paradigme officiel, réfute l’idée de hasard, de coïncidences où la maladie n’a aucune vertu, n’apporte que souffrances, malheurs et mal-être. Au contraire, ici, nous allons essayer de mettre en exergue les recherches de ceux et celles qui étudient la maladie afin d’en comprendre le sens, le langage qui n’est pas si difficile, mystérieux ou abscons.

1- Quelques recherches de scientifiques :

Citons par exemple (liste, bien entendu, non exhaustive !) les adeptes :

  • de la métamédecine qui analysent les « évènements à l’origine des causes des maladies ou des scénarios répétitifs dans la vie d’une personne pour les dépasser et conduire à une transformation en profondeur »…
  • de la médecine psychosomatique de Georg GRODDECK (1866-1934) qui explique que toute maladie organique est en fait d’origine psychosomatique où l’inconscient a un rôle prépondérant…
  • de la Médecine Nouvelle du très célèbre Dr Ryke Geerd Hamer qui a démontré l’origine psychique, émotionnelle (choc affectif) des cancers (radié de l’Ordre des Médecins en 1986 malgré ses découvertes pour avoir refusé de se convertir aux préceptes de la médecine classique qui étaient en contradiction avec ses 5 lois
  • de tous les professionnels de la santé qui penchent vers l’étude d’un potentiel interne que nous possèderions intrinsèquement et qui serait muni de tous les outils de compréhension nécessaires et utiles à un fonctionnement parfait de l’ensemble de ce système. Citons pêle-mêle : le Dr Jean-Patrick CHAUVIN (son livre « Quand la maladie nous enseigne »), le Dr Olivier SOULIER qui parle des « intentions positives des maladies », le Dr Pierre-Jean THOMAS-LAMOTTE (et son célèbre livre « Et si la maladie n’était pas un hasard… »), Thierry JANSSEN, Jacques MARTEL avec son célèbre « Dictionnaire des maux et des malaises » ou Bernard TIHON dans son « Sens des maux », véritable sagesse à travers laquelle nous pouvons puiser sans retenue et qui explique l’importance de la somatisation…

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2- Que pensez alors des bactéries, microbes, virus ?

Mais qu’en est-il de toutes ces minuscules « petites bêtes » (bactéries, champignons, allergènes, virus…) très souvent pathogènes ou même très virulentes comme les salmonelles …) me direz-vous  ? Comme l’explique le Dr Deepak CHOPRA dans son livre « Une santé parfaite », elles sont présentes partout en quantités phénoménales. Il cite même le cas du virus « méningocoque » très virulent qui loge pourtant dans les voies respiratoires humaines sans provoquer de méningite dans 99,99 % des cas !

Comment cela se peut-il ?

Les spécialistes parlent d’un facteur mystérieux appelé « résistance de l’hôte » qui protège le corps humain et qui serait directement lié aux défenses immunitaires de l’individu. Or ces dernières sont d’autant plus fortes que le système énergétique entier (tous les corps subtils) est équilibré et puissant.

Donc, suivant ce principe, deux individus dans une même pièce, contracteront une épidémie (à cause d’une bactérie ou d’un virus présent dans les lieux) seulement si leur système immunitaire est défaillant, pas dans le cas contraire … Il est donc primordial de tout faire pour renforcer ses défenses naturelles, c’est à dire augmenter son taux vibratoire pour lutter efficacement (mais naturellement sans provoquer d’autres dégâts collatéraux) contre bactéries, virus, champignons ou autres une fois la maladie contractée.

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3- Le langage du corps est un langage spirituel :

Et si cette compréhension des mécanismes d’apparition d’un déséquilibre qu’on appelle « maladie » était spirituellement consécutive :

  • au fait que notre « corps » n’est pas seulement « physique » mais est construit à la naissance à partir des corps subtils immortels : il porte en lui de ce fait la sagesse de ce qui est parfaitement adéquat pour le nouveau né dans tous les domaines et dans toutes les situations de ce qui sera sa vie (en termes de caractère, capital génétique, etc.) et ce quelle que soit la situation rencontrée à la naissance (maladie génétique ou handicap par exemple),
  • à la volonté primordiale du corps de vouloir à tout prix se maintenir en équilibre, en homéostasie disent les spécialistes (maintenir constants et en équilibre le milieu interne et les paramètres physiologiques). Ainsi, le corps physique enverra des messages tels que maladies, malaises, souffrances, douleurs, etc. qui sont autant de réactions d’ajustements. Chaque  inconfort physique, émotionnel, mental, spirituel ou énergétique qui en résulte correspond à un apprentissage que l’individu doit intégrer pour retrouver son équilibre,
  • au choix de tout être humain d’être venu s’incarner sur terre afin de parfaire ses croyances : il a le choix (c’est son libre-arbitre) de combattre ou non la maladie, de croire ou non qu’elle est son ennemie, une tare, une réponse punitive à ses actions. Son attitude le placera ou pas dans la division, le non-amour, le jugement face à lui-même donc face à sa maladie. Cette confrontation est inhérente à sa nature divine en voie de réalisation. En tant que parcelle divine issues de l’amour universel (cf. corps divin, un de nos corps subtils), nos choix issus de nos croyances nous rapprocheront ou nous éloigneront de l’amour de notre créateur. Ainsi, être capable de se guérir, c’est être capable de s’aimer, d’émaner l’amour, de vouloir changer, de comprendre, d’évoluer en devenant autonome et maître de sa vie tout en s’abandonnant à toutes ces situations de souffrances qui ne sont que des apprentissages. Le langage du corps tentera toujours dans ce sens de nous aider à évoluer c’est à dire rencontrer, aimer notre nature divine.

Plus les compréhensions sont rapides, plus le voyage l’est aussi !

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