2.3. Exemples d’auto-guérison

23-Exemples-autoguérisons

Voici quelques expériences d’auto-guérison qui montrent que notre corps est le véritable résultat de nos pensées et de nos émotions. Qu’il s’agisse de la mise en pratique du fameux effet placebo (dont les premiers effets sur la santé ont été étudiés officiellement dès 1628 !) ou de la prise de conscience de nos propres pouvoirs de guérison à travers (souvent) une recherche personnelle spirituelle (vous pouvez en retrouver bien d’autres dans la revue Néosanté, rubrique « Le plein de sens » :

  • Exemple 2une femme raconte comment elle a « liquidé » son cancer du sein
  • Exemple 3 : un homme devenu tétraplégique après un accident d’avion
  • Exemple 4 et 5 : personnes qui ont sciemment utilisé leur pouvoir d’auto guérison
  • Exemple 6 : Françoise Gérard qui s’est guérie d’un cancer en phase terminale
  • Exemple 7 : un abbé tibétain s’auto-guérit d’une gangrène sévère après 3 ans de méditation
  • Exemple 8, 9 et 10 : auto-guérisons d’une polyarthrite et de cancers grâce au Dr Hamer  

Exemple 1 : le pouvoir de l’effet placebo…

Marcel VIOLET est l’inventeur du dynamiseur d’eau à la cire d’abeille (voir page sur l’eau énergétisée). Voici ce qu’il raconte :

« Un jour, je reçois un coup de téléphone d’un homme qui me dit : « je suis atteint d’un cancer du colon bien avancé, et je recherche un très bon chirurgien pour m’opérer ; en connaissez-vous un dans vos relations ? ».

Je lui dis qu’effectivement que j’avais un ami chirurgien en qui j’aurais une confiance totale si je devais me faire opérer. OK répondit l’homme, cela me convient. Bref, rendez-vous fut donné et je fus même invité par mon ami à assister à l’opération.

Á peine l’abdomen ouvert, mon ami chirurgien fit silencieusement un signe de dégoût et sans rien faire se mit à recoudre. Manifestement, il n’avait plus aucune chance de récupérer à ce stade beaucoup trop avancé de cancer. Une fois réveillé, mon ami chirurgien dit à son patient que tout s’était bien passé et qu’il allait rapidement se rétablir.

Il se passa quatre mois, et j’avais déjà oublié cette histoire pensant que notre homme était mort, quand je reçus un coup de téléphone : c’était lui !?! Il me dit : « Voilà, je viens de subir tous les tests cancer, je suis entièrement guéri, et je souhaiterais remercier votre ami chirurgien avec un petit cadeau, mais je n’ai pas ses coordonnées … ».

Cette histoire vraie est extraordinaire et démontre combien l’effet placebo peut être efficace.

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Exemple 2 : un cancer du sein qui disparaît…

« Le 23 novembre, on m’a diagnostiqué un cancer du sein. Mais j’ai voulu croire vraiment du fond du cœur, de toute ma foi, que j’étais déjà guérie.

Tout au long de la journée, je répétais inlassablement : « Merci pour ma guérison, Merci pour ma guérison ». Je me visualisais comme si le cancer n’était jamais entré dans mon corps.

Une des choses que j’ai entreprises pour me soigner a été de regarder des films drôles. C’était tout ce que je voulais : rire, rire, rire. Je ne pouvais pas me permettre de mettre du stress dans ma vie, car je savais que le stress est la pire chose à vivre quand on veut guérir.

Entre le moment où l’on m’a annoncé ma maladie et le moment où j’ai été complètement guérie, cela a pris 3 mois. Et ceci sans thérapie, ni chimio ! ».

(Note de l’auteur du site : pardon mais je n’ai plus les références de ce texte !)

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Exemple 3 : un homme tétraplégique…

« Le jour de mon crash, en mars 1981, ma vie entière a basculé. J’ai fini dans un hôpital complètement paralysé, ma colonne vertébrale était écrasée, il m’était impossible d’avaler, je ne pouvais pas manger ou boire, mon diaphragme était détruit, et je ne pouvais plus respirer. La seule chose que je pouvais faire c’était CLIGNER DES YEUX.

Les médecins, bien-sûr, m’ont dit que je serais un « légume » pour le reste de mon existence. C’était l’image qu’ils avaient de moi, mais ce qu’ils pensaient ne m’intéressait pas. La chose la plus importante pour moi était ce que je pensais.

Et j’ai établi intérieurement la gageure que je sortirais en marchant à Noël. Alors, chaque jour, je me suis imaginé étant une personne normale, quittant l’hôpital en marchant … La seule chose qui fonctionnait encore dans mon corps était mon esprit, et si vous avez votre esprit, vous pouvez remettre les choses en marche

J’étais branché à un respirateur artificiel et les médecins m’ont dit que je ne respirerais plus sans aide extérieure puisque mon diaphragme était détruit. Mais une petite voix intérieure continuait à me dire : « Respire profondément, respire profondément ».

Et finalement, j’ai pu me passer du respirateur artificiel. Les médecins n’avaient aucune explication. Mais je ne pouvais autoriser qui que ce soit à me distraire de mon objectif et de ma vision de guérison. Je m’étais fixé l’objectif de marcher hors de l’hôpital pour Noël.

Huit mois plus tard, je suis sorti sur mes jambes. Si j’ai un message à transmettre à ceux qui lisent ce témoignage de mon aventure, c’est : « L’HOMME DEVIENT CE QU’IL PENSE« .

(Voir le film  » Le secret  » (90 minutes) pour visionner cette expérience) – Ce que confirme désormais la médecine quantique !

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Exemple 4 et 5 : utiliser sciemment son pouvoir d’auto guérison…

Une dame de 35 ans – Mireille A. – est arrivée dans un de mes ateliers avec une main dans un étui spécial de cuir ; elle était passée au travers d’un pare brise de voiture ; le nerf radial sectionné au niveau du poignet s’était rétracté de 17 centimètres et s’était révélé inopérable. Nous avons établi un protocole de visualisation de une à deux minutes, matin midi et soir, selon lequel elle devait voir clairement son nerf repousser comme une racine et rejoindre l’autre bout (il est possible de s’aider d’une planche anatomique). La jonction qui s’est faite en 6 mois, a été suivie en cours par plusieurs radiologies. Un an après, Mireille A. refaisait de la varappe en montagne….

Un jeune homme de 22 ans est arrivé un jour dans un autre de mes ateliers en marchant à la façon des handicapés moteurs. Je lui demandais ce qui lui était arrivé. Il me dit qu’il avait eu la moelle épinière sectionnée. Sachant qu’il y a en France environ 50 000 paralysés par rupture de la moelle épinière laissés pour compter, je restais cloué. Il me dit que son accident avait eu lieu en février et qu’il avait fait le pari qu’il marcherait à Noël…..La recette qu’il a appliquée a été la même 3 fois par jour et souvent plus ; par ailleurs il s’imaginait souvent marcher. Comme il était dit dans l’histoire d’un exploit : « Il a réussi parce qu’il ne savait pas que c’était impossible« . Source ICI

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Exemple 6 : auto-guérison d’un cancer en phase terminale

 Françoise Gérard s’est guérie d’un cancer en phase terminale. Elle a relaté son histoire en détails dans un livre intitulé « Cancer mon chemin de guérison« . En 1986, cette dame a connu l’enfer de cette maladie, confrontée comme elle le dit à la peur, l’angoisse, au doute et à l’incompréhension d’une situation qui ne semble pas lui appartenir.

Mais cet événement, elle le dit aujourd’hui (à travers de nombreuses conférences) a été une chance, une bénédiction que lui a offert la Vie. Elle a ainsi pu, à travers l’acceptation du pire, faire ressortir le meilleur et suivre un chemin de transformation qui l’a conduite vers la guérison. Elle a su, après de longues années de recherches et d’études répondre aux questions essentielles qui constituaient un blocage en elle : pourquoi la maladie ? Pourquoi l’épreuve ? Pourquoi la Vie en somme ?

Son témoignage propose des clés qui l’ont aidée à sortir de son cancer du sein alors que le corps médical ne lui avait donné qu’un délai de vie de 2 mois :

  • Comment nos systèmes de croyances créent nos limitations dans la vie,
  • Nous ne sommes pas que le corps physique : elle parle et détaille les besoins mais surtout les incidences des dérèglements au niveau des corps physique, émotionnel, mental et spirituels (corps atmique, bouddhique et christique),
  • Les répercussions dans la vie d’adulte de l’harmonie ou au contraire de la disharmonie avec nos attaches « père – mère » : une réflexion sur « ce que nous sommes réellement«  ainsi que nos interactions avec nos parents (qui résultent de nos choix) et leur place dans notre « création quotidienne » ici-bas,
  • Et enfin, une liste de 9 mots clés afin de matérialiser en nous la guérison :

1- L’acceptation : première clé à mettre en œuvre car « tant que nous n’aurons pas accueilli et admis ce que nous vivons, que ce soit un problème familial, sentimental, professionnel, de santé ou autre, nous ne pourrons le résoudre et le dépasser »,

2- Le détachement de l’émotionnel du passé : sans oublier ni rejeter notre passé car il a eu sa raison d’être, regardons le comme un vaste terrain de jeu qui est juste là pour nous permettre d’apprendre, d’avancer pour libérer en nous ces émotions qui ne sont plus les nôtres,

3- Le pardon : très difficile, il invite à transformer l’offense en offrande, renoncer à la haine en se libérant de toute rancœur, grandir dans l’amour en acceptant la réconciliation avec nous-mêmes et avec les autres, en acceptant ce qui est comme un cadeau. Vouloir pardonner avec notre mental crée une incompréhension tandis que pardonner avec son cœur crée la réconciliation avec nous-mêmes puis avec les autres,

4- L’offrande : c’est offrir nos peurs, angoisses, chagrins, amertumes, limites, faiblesses, difficultés, épreuves, doutes, culpabilités, colères, rancœurs, soucis ou toute autre pensée négative issue de notre égo à notre Créateur en lui demandant de prendre les rênes pour nous libérer de tous ces tourments,

5- Le remerciement et la louange : c’est l’éveil en une Conscience Nouvelle à travers la reconnaissance, la contemplation de toutes les beautés qui nous entourent (soleil couchant, chant d’un oiseau, majesté d’un nuage, harmonie des couleurs d’un arc-en-ciel, etc.) et la prise de conscience de la chance d’être là ici et maintenant et de le faire savoir : participer à toutes les joies qui nous sont proposées, apprécier les mains tendues, le sourire d’un enfant, honorer, glorifier le créateur, etc.

6- La foi : car tout désir a besoin de foi pour se matérialiser. Il s’agit de croire en soi mais aussi en ce grand Soi qui nous inspire et nous vivifie. Ainsi, tôt ou tard nous attirerons ce que nous pensons et ce que nous croyons de nous-mêmes et des autres (loi d’attraction),

7- La vérité : même si elle est multiple (chacun a la sienne et elle mérite notre respect), nos paroles quotidiennes doivent refléter une certaine « ligne directrice«  afin qu’avec nos pensées et nos actes nous limitions l’apparition de tout déséquilibre (en blessant autrui, on se blesse soi-même). Voir pour cela la page de ce site liée à l’innocuité,

8- La responsabilité : être prêt (e) à assumer pleinement les conséquences de tous nos actes, paroles et actions sans en reporter la faute sur autrui,

9- Et bien entendu, l’Amour qui devrait être le fondement, à l’origine de toute notre interaction avec le monde…

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Exemple 7 : auto-guérison d’une gangrène après 3 ans de méditation :

Exemple relaté ICI par l’INREES (Institut de Recherche sur les Expériences Extraordinaires ) à travers une vidéo (accès réservé aux abonnée de la chaîne TV de l’INREES) et dont le résumé a été copié-collé ci-dessous :

 » Après avoir subi la torture dans son pays occupé, l’abbé tibétain Phakyab Rinpoché se réfugie à New York en avril 2003. Il est hospitalisé d’urgence pour une gangrène sévère au pied droit. Alors que les médecins préconisent une amputation immédiate, il reçoit du dalaï-lama ce message : « Pourquoi cherches-tu la guérison à l’extérieur de toi ? Tu as en toi la sagesse qui guérit et une fois guéri tu enseigneras au monde comment guérir. » (Note :  » La méditation m’a sauvé  » est paru en octobre 2014 aux éditions du Cherche-Midi). Dans un petit studio de Brooklyn, Rinpoché médite pendant trois ans sur l’amour inconditionnel et les yogas secrets de l’énergie interne dont il reçut l’initiation à 16 ans. Il repousse l’infection et reconstruit les os de sa cheville, ce que seule une greffe osseuse permet normalement. Le docteur Lionel Coudron, après étude du dossier médical, qualifie cette double guérison de « phénomène d’une puissance exceptionnelle ». Reportage et discussion croisé avec Sofia Stril-Rever, qui nous fait vivre cette expérience singulière et universelle d’éveil à la nature aimante et lumineuse de l’esprit, Phakyab Rinpoché et le Dr Lionel Coudron.  »

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Exemple 8, 9 et 10 : auto-guérisons d’une polyarthrite, d’une tumeur au cerveau et d’un cancer au sein grâce aux conseils du Docteur Hamer :

(Témoignages de 3 patients issue de la revue mensuelle « Néosanté » n° 70 – Août 2017 page 18)

Cas n°1 : tumeur au cerveau :

J’ai actuellement 66 ans (août 2017) et j’ai eu la chance de rencontrer le docteur Hamer lorsque j’avais 40 ans et qu’un médecin avait dit à mon mari qu’il ne fallait plus espérer (il me donnait 4 à 5 semaines de survie). Le médecin qui me suivait à l’époque m’a dit qu’il avait donné mes scanners au docteur Hamer pour faire ses conférences.

Je l’ai rencontré une heure mais lorsqu’il a vu mon scanner, il m’a détaillé tout mon parcours de vie comme s’il me connaissait.

Cela s’est passé fin 1989 ou début 1990. Je ne l’ai plus jamais revu car je pense qu’il était encore pourchassé et qu’il avait dû se réfugier en Espagne.

Pour moi, il était et reste un être exceptionnel.

C’est très difficile pour moi d’être précise sur le décodage car à l’époque, j’étais très mal, je tenais à peine debout.

Ce dont je me rappelle, c’est que le médecin qui m’a soignée à l’époque, était lui-même en recherche, ainsi que d’autres médecins en Belgique.

Ils ont invité le docteur Hamer et ils ont rassemblé quelques-uns de leurs patients dont je faisais partie.

Le docteur Hamer ne s’exprimait pas en français, et il a d’abord fait un bref exposé sur la façon dont il voyait les choses en général face au cancer, c’est-à-dire que le malade vit un conflit dans l’isolement et assez longtemps en passant par différents états de stress suivis d’états d’apathie. Son état physique se dégrade souvent à ce moment-là.

C’était un traducteur qui nous livrait son message, et je me reconnaissais déjà dans cette explication qui ne m’avait jamais été donnée par aucun médecin. Nous passions chacun à notre tour auprès du docteur Hamer et il expliquait à chaque médecin ce qu’il voyait sur le scanner du patient.

Ce n’était donc pas directement à moi qu’il s’adressait, mais à mon médecin.

J’étais à ses côtés et j’entendais ce qu’il disait et j’ai été ébahie de ce qu’il a pu voir de très précis sur un simple scanner.

Il ne m’avait jamais rencontrée auparavant ! En résumé, je vivais deux drames en même temps : mon couple était en crise et nous vivions une faillite qui nous a ruinés.

Nous avions dû partir précipitamment de notre maison avec nos deux enfants adolescents.

Ce sont donc des événements que j’ai très mal vécus.

J’ai été paralysée du côté droit, et c’est à l’hôpital universitaire de Louvain qu’on a diagnostiqué une tumeur au cerveau suite à un examen à résonance magnétique.

Or, le docteur Hamer dit qu’on se méprend sur ce que l’on considère comme une tumeur maligne et qui n’est en général que la résolution du conflit.

Au lieu de rassurer le patient, on le fait paniquer.

Je sais qu’il a vu plusieurs conflits chez moi, dont celui de l’abandon.

C’est pourquoi, il a demandé mes scanners pour faire des conférences.

J’ai été suivie psychologiquement par une thérapeute et quand j’ai compris ce que je vivais, je pense que la moitié du chemin vers la guérison était faite.

Le médecin qui me suivait parvenait encore à se procurer les gélules du Docteur Solomidès (qui a lui aussi été très controversé) et il m’a expliqué que ça m’aidait à assimiler les oligo-éléments pour m’aider à me rétablir.

J’ai refait des scanners pour voir l’évolution de la « tumeur » et les médecins n’y comprenaient rien car elle diminuait.

Ils ont même cru s’être trompés dans leur diagnostic, ce qui est encore plus grave car au début, on avait dit à mon mari que mon espérance de vie était de quatre à cinq semaines et qu’il fallait d’urgence m’hospitaliser.

Le début de ma maladie s’est passé en automne 1989, et vers le mois de juin 1990, j’ai commencé à retravailler à mon rythme.

Voilà, je peux donc dire que sans les découvertes du Docteur Hamer, je n’aurais peut-être pas guéri.

J’espère que vous aurez encore d’autres témoignages qui aideront d’autres personnes à faire confiance à la médecine du Docteur Hamer.

Elisabeth L (Belgique)

Cas n°2 : polyarthrite chronique évolutive :

Il y a 35 ans, j’étais condamnée par la médecine : une polyarthrite chronique évolutive à 38 ans.

J’ai rencontré Wolfgang, qui était un proche du Dr Hamer, et j’ai adhéré. Après avoir passé des scans du cerveau, l’analyse du Dr Hamer était claire et limpide. J’ai opéré des changements en profondeur dans ma vie, j’ai travaillé avec Wolfgang. La médecine me disait que j’étais « folle » et que la déchéance était proche. Je ne pouvais plus marcher, m’asseoir seule, manger seule, toutes les articulations étaient atteintes. Cela a duré 2 ans. Et puis, la lumière au bout du tunnel. Aujourd’hui, je marche et même à 71 ans, je travaille toujours. Je suis devenue thérapeute grâce à toute l’accumulation de connaissances. Bien évidemment, j’ai les deux premiers livres du Dr Hamer, ils sont précieux, et je cite souvent le Dr Hamer. Ses dérives n’enlèvent en rien ses découvertes.

Marie-Claude M. (France)

Cas n°3 : CANCER DU SEIN :

C’est en mai, que ma femme remarqua une induration dans son sein gauche en faisant l’auto-examen mammaire. J’avais déjà entendu parler de la Médecine Nouvelle Germanique (GNM du Dr Hamer), mais n’étais pas assez versé encore pour l’appliquer.

Donc, nous avons pris un rendez-vous à l’hôpital pour voir le Dr.W., l’oncologiste. Après l’examen et la biopsie subséquente, ma femme reçut le diagnostic : cancer malin du sein. À mes questions concernant les causes du cancer, le docteur répondit par « environnement », « histoire familiale », « tabac », etc. À part ça, il a dit : vous ne devriez pas poser tant de questions, mais plutôt vous empresser de prendre rendez-vous en chirurgie, sinon votre femme ne survivra pas plus de 4 semaines (…). J’ai appelé le coordinateur de l’atelier de GNM. Avec d’autres participants, nous avons investigué et discuté des causes du cancer du sein de ma femme. Nous avons rapidement établi qu’elle avait souffert d’un « conflit d’inquiétude » pour son fils. Le test d’applaudissement montra clairement qu’elle était droitière, ce pourquoi elle développa le cancer du sein (glandulaire) dans son sein gauche. Ma femme avait un fils de son premier mariage qui buvait excessivement. Le jour de ses 29 ans, elle le trouva mort dans son lit. Ce fut, hélas, un terrible choc pour elle. La tomographie cérébrale confirma l’impact du choc conflictuel. Nous avons suivi les recommandations de la GNM en toute confiance. Les semaines suivantes furent dédiées à ma femme afin qu’elle en finisse avec son conflit.

Sans aucun traitement médical conventionnel, en l’espace d’une demi-année, la tumeur « maligne » du sein s’est alors résorbée en un insignifiant petit nodule encapsulé.

B. (extrait du site www.learningGNM.Com)

D’autres exemples qui prouvent les bienfaits et le sérieux de la médecine nouvelle du Dr Hamer sont souvent relatés dans cette revue « Néosanté » (notamment page 28 du même numéro d’août 2017 dans le livre intitulé « Un lieu sauvage, le témoignage d’une guérison » de Kerstin Chavent.

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