Ces déséquilibres inscrits dans nos mémoires, vous l’avez compris, sont bien plus délicats à guérir psychologiquement et physiquement dans la vie actuelle car ils résultent (comme il est expliqué en cliquant sur le lien en début de phrase) d’événements passés, dont on ignore l’origine, la provenance, la cause réelle qui est consécutive à une dette karmique ou un choix d’évolution délibéré, une volonté issue d’un amour pur d’être un canal pour nous-mêmes mais aussi et surtout pour nos proches. Les termes de ce « contrat » nous semblent toutefois très difficiles à accepter dans cette vie face aux souffrances et privations endurées notamment dans les cas des maladies incurables accompagnées d’handicaps lourds.
Ainsi, nous pensons que la guérison est avant tout spirituelle, en ce sens qu’elle exige une compréhension de ce « contrat » , une acceptation de cette nécessaire évolution qui a été décidée avec notre accord, avec amour, don de soi, détachement et liberté et qui constitue, nous le pensons, le véritable but de notre incarnation. D’où l’importance primordiale de nos croyances, de notre foi, de nos valeurs face à ce qui apparaît très souvent comme une injustice, une punition, un non sens de la vie.
Notre vision des choses aurait été certainement changée, bouleversée même si nous avions reçu une éducation sur les maladies karmiques, sur la loi de cause à effet et sur les choix de certaines âmes pures et leur volonté de s’incarner pour « purger » des dettes karmiques ou aider autrui à s’élever encore plus haut (en naissant avec un handicap par exemple).
Comme il a déjà été précisé, c’est le corps causal qui renferme les informations susceptibles de provoquer de tels déséquilibres chez un individu. On parle de maladies karmiques programmées pour être déclenchées à un moment bien précis dans notre vie.
Il est donc aisé de comprendre, dans le sens de ces croyances, que la maladie ne pourra être guérie que dans la mesure où le patient accomplit la mission (forcément spirituelle) qu’il a programmée dans cette vie, dans le cadre de son « plan« , de sa mission de vie, de son destin. Rien, ni personne (pas même Dieu) ne pourra entraver ce libre arbitre, ce parcours (comme le ferait, par exemple, une guérison prématurée) qui n’est pas un « mal » et encore moins « une mauvaise chose ». Car la maladie EST le chemin de guérison choisi en toute conscience comme l’explique Françoise Gérard dans son livre « Cancer, mon chemin de guérison« .
Nous rejoignons ici l’idée essentielle selon laquelle il ne peut y avoir guérison physique, psychique ou karmique sans ACCEPTATION DE CE QUI A ÉTÉ ET DE CE QUI EST. Pour ce faire, une profonde réflexion sur la nécessité d’un ou plusieurs pardons semble être inévitable : c’est là aussi une façon de remplacer tout sentiment négatif (cf. blessures et peurs) par de l’amour, de l’abandon, du consentement sans la moindre culpabilité.
Comment sait-on que ce travail a été réalisé pleinement ?
L’amour, la paix et la sérénité dans notre cœur, à ce moment là, a remplacé définitivement la haine, le ressentiment, la culpabilité, la colère, le sentiment d’injustice… même si la souffrance physique est encore bien présente, la guérison psychique ayant opéré. On se sent libre, libéré, détaché de toutes ces entraves. On comprend à ce stade l’utilité, même la nécessité malheureusement de l’épreuve subie : si « c’était à refaire », on souhaiterait revivre ces souffrances comme l’expliquent souvent ceux et celles qui ont suivi ce chemin jusqu’à son terme, jusqu’au bout de sa compréhension, de son utilité, de sa raison d’être.
Comment faire pour comprendre le pourquoi de ces déséquilibres ?
Quelques pistes pour comprendre comment atteindre d’après nous cette « acceptation » :
- Une recherche d’informations dans le cadre de lectures, de colloques, séminaires au cours desquels certaines notions essentielles pourront être expliquées. Les profanes parlent de « lois ». Citons les deux principales : la loi de cause à effet (appelée aussi « loi d’action et de réaction » ou « loi du karma » ou « loi de causalité » dans les écrits surtout bouddhistes et hindouistes) et la loi de renaissance qui s’appuie sur le principe de réincarnation.
- De nouvelles rencontres, susceptibles d’élargir nos horizons, l’essai de nouvelles thérapeutiques proposées ici ou là comme cette technique de guérison quantique totalement gratuite à découvrir ICI (à faire et à refaire) … Merci aux personnes qui l’ont créée et mise à disposition gratuitement !
- Des engagements de service désintéressés : très efficaces pour éviter de « s’apitoyer » sur son sort, pour se redonner confiance, prouver à soi-même et à autrui notre potentiel, notre « utilité », notre désir « d’être vivant » (dans les 2 sens) et la volonté qui en découle de donner de l’amour à autrui,
- De prendre contact avec des personnes qui ont su dépasser ces difficultés, ces « coups du sort », petits ou grands afin de profiter de leurs expériences de vie. Exemple marquant dans le domaine des handicaps (de naissance) : qui n’a pas entendu parlé de cet homme, Nick VUJIVIC, qui explique comment, sans bras ni jambes, il arrive à aimer encore et toujours la vie,. Une sacrée leçon qu’il explique avec beaucoup d’humour auprès des jeunes, dans les écoles notamment.
- Une nouvelle orientation (professionnelle ou privée) : souvent, ce « saut quantique » de compréhension amène des changements dans notre vie (par cycles) plus à même de nous permettre de mener à bien la mission (on ose parler de « travail ») que nous nous sommes nous-mêmes confiés (à l’image de ce qui s’est produit pour Nick VUJIVIC).
- Et, bien entendu, à travers tout cela, une grande ouverture du cœur, propice en ces temps nouveaux, à nous aider à gravir les échelons de la compréhension, de notre évolution, dans la Joie, la Paix envers nous-mêmes, l’Amour et la compassion envers toute vie et … une santé de fer !